novembre 30, 2023
Patients with advanced CKD have the best chance for a longer and healthier life if they receive a kidney transplant. However, due to several barriers, many eligible patients today will never receive a kidney transplant.
To address this problem, the EnAKT LKD Trial was conducted to determine if CKD program-wide use of a multicomponent intervention could help eligible patients complete key steps towards receiving a kidney transplant. The trial included 20,375 patients who received care in Ontario’s 26 CKD programs over more than four years. Unfortunately, the arrival of the COVID-19 pandemic negatively affected intervention delivery, as CKD programs faced shifting priorities for at least a year.
Acknowledging the complications brought by the pandemic, the trial team was unable to show the intervention increased access to kidney transplantation and living kidney donation, despite evidence of intervention uptake at the participating centres.
While the findings of the trial were not what the team had hoped for, the intervention exhibited important strengths that could be used in future trials:
- The trial emphasized the importance of CKD programs and transplant centres participating in a learning healthcare system. In other words, a culture shift where centre staff are committed to robust assessments of what they do.
- The intervention was designed and implemented by diverse stakeholders, including administrators, healthcare staff, patients and nephrologists using new educational materials.
- The extent of patient-partner involvement in the trial could pave the way for how we think about patient engagement in future trials. Patient partners played an integral role throughout the trial, including developing the research question, designing the intervention, and developing and leading a key component of the intervention, the Transplant Ambassador Program.
« While we were unable to show this intervention increased access to kidney transplantation and living kidney donation, we are not giving up. We and others are deeply committed to addressing this complex and important problem,” said Dr. Amit Garg, Nephrologist and Professor of Medicine, Epidemiology and Biostatistics, Schulich School of Medicine and Dentistry. “We are currently completing a process evaluation to optimize our future approach.”
L’essai EnAKT LKD et la recherche d’un meilleur accès à la transplantation rénale pour les patients atteints de MRC à un stade avancé
Les patients atteints d’une MRC à un stade avancé ont les meilleures chances de vivre plus longtemps et en meilleure santé s’ils reçoivent une transplantation de rein. Cependant, en raison de plusieurs obstacles, de nombreux patients éligibles ne recevront jamais de transplantation de rein.
Pour résoudre ce problème, l’essai EnAKT LKD a été mené pour déterminer si l’utilisation d’une intervention à composantes multiples dans l’ensemble du programme portant sur la MRC pouvait aider les patients éligibles à franchir les étapes clés pour recevoir une transplantation de rein. L’étude a porté sur 20 375 patients qui ont reçu des soins dans le cadre des 26 programmes visant la MRC en Ontario sur une période de plus de quatre ans. Malheureusement, l’arrivée de la pandémie de COVID-19 a eu un impact négatif sur la mise en œuvre des interventions, les programmes de lutte contre la maladie rénale chronique étant confrontés à des changements de priorités pendant au moins un an.
Reconnaissant les complications engendrées par la pandémie, l’équipe chargée de l’essai n’a pas été en mesure de démontrer que l’intervention avait amélioré l’accès à la transplantation rénale et au don de rein vivant, malgré les preuves de l’adoption de l’intervention dans les centres participants.
Bien que les résultats de l’essai n’aient pas été à la hauteur des espérances de l’équipe, l’intervention a montré des points forts importants qui pourraient être utilisés dans de futurs essais :
- L’essai a souligné l’importance de la participation des programmes portant sur la MRC et des centres de transplantation à un système de soins de santé en apprentissage. En d’autres termes, il s’agit d’un changement de culture dans lequel le personnel des centres s’engage à procéder à des évaluations rigoureuses de ce qu’il fait.
- L’intervention a été conçue et mise en œuvre par diverses parties prenantes, notamment des administrateurs, du personnel soignant, des patients et des néphrologues, à l’aide de nouveaux supports pédagogiques.
- L’ampleur de la participation des patients et des partenaires à l’essai pourrait ouvrir la voie à la façon dont nous envisageons l’engagement des patients dans les essais futurs. Les patients partenaires ont joué un rôle essentiel tout au long de l’essai, notamment en élaborant la question de recherche, en concevant l’intervention et en développant et en dirigeant un élément clé de l’intervention, le programme des ambassadeurs de la transplantation.
« Bien que nous n’ayons pas été en mesure de démontrer que cette intervention améliorait l’accès à la transplantation rénale et au don de rein vivant, nous n’abandonnons pas. Nous sommes, avec d’autres, profondément engagés dans la résolution de ce problème complexe et important », a déclaré le Dr Amit Garg, néphrologue et professeur de médecine, d’épidémiologie et de biostatistique à la Schulich School of Medicine and Dentistry. « Nous procédons actuellement à une évaluation des processus afin d’optimiser notre approche future. »
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