April 23, 2024

A Can-SOLVE CKD research team is bringing a new tool into kidney clinics across Canada that aims to reduce the number of unnecessary medications taken by hemodialysis patients.

Already, the tool is working to reduce the pill burden of patients at two sites, with more pending.

The STOP Med-HD research team developed and validated a tool that clinicians can use to re-assess the medications taken by individuals on hemodialysis and identify which medications can be safely stopped. As well, they created a communication aid to help patients understand why it’s okay to stop taking certain medications –for example, those that may have only been needed for short-term reasons.

Now that these tools have been proven to be helpful, it’s time to put them into practice. “The STOP-Med HD project is currently implementing the deprescribing initiative across several hemodialysis sites in Canada, including Toronto and Halifax,” says Marisa Battistella, a Pharmacy Clinician Scientist at the University Health Network in Toronto and co-lead of the STOP Med-HD research team. She notes that the tools will be introduced at additional sites in Alberta and possibly British Columbia soon.

As the deprescribing and communication aid tools are rolled out at various sites, the STOP-Med HD team will assess facilitators and barriers that patients and their health care providers face in adopting them. The team will use this information to develop even better implementation strategies moving forward.

While patient partners were key leaders with the design of this project from the very beginning, they have continued to play a valuable role in helping to implement the tools into practice.

Notably, patient partners helped oversee the development of a video to raise awareness about the deprescribing tools, and shared their voices in the video through interviews. As well, patient partners are helping to interpret the data related to barriers and facilitators of implementation.

Battistella notes that this project has a lot of potential to improve kidney care. “If the deprescribing tools are successful in optimizing medication regimens, health care providers may address medication management more effectively and efficiently and patients may experience an improvement in their quality of life,” she says.


L’outil de déprescription fait ses débuts à Toronto, Halifax et Vancouver

Une équipe de recherche Can-SOLVE CKD introduit un nouvel outil dans les cliniques rénales à travers le Canada dans le but de réduire le nombre de médicaments inutiles pris par les patients sous hémodialyse.

Déjà, l’outil travaille à réduire la charge de pilules des patients dans deux sites, avec d’autres en attente.

L’équipe de recherche STOP Med-HD a développé et validé un outil que les cliniciens peuvent utiliser pour réévaluer les médicaments pris par les personnes sous hémodialyse et identifier les médicaments qui peuvent être arrêtés en toute sécurité. De plus, ils ont créé un outil de communication pour aider les patients à comprendre pourquoi il est acceptable d’arrêter de prendre certains médicaments, par exemple, ceux qui n’étaient peut-être nécessaires que pour des raisons à court terme.

Maintenant que l’utilité de ces outils a été démontrée, il est temps de les mettre en pratique. « Le projet STOP-Med HD met actuellement en œuvre l’initiative de déprescription dans plusieurs sites d’hémodialyse au Canada, notamment à Toronto et à Halifax », explique Marisa Battistella, clinicienne-chercheuse en pharmacie au University Health Network de Toronto et co-responsable de l’équipe de recherche STOP Med-HD. Elle ajoute que ces outils seront bientôt introduits dans d’autres sites en Alberta et peut-être en Colombie-Britannique.

Au fur et à mesure que les outils de déprescription et d’aide à la communication seront déployés dans différents sites, l’équipe STOP-MED HD évaluera les facilitateurs et les obstacles à l’adoption de ces outils par les patients et leurs fournisseurs de soins de santé. L’équipe utilisera ces informations pour élaborer des stratégies de mise en œuvre encore meilleures pour l’avenir.

Si les patients partenaires ont joué un rôle de premier plan dans la conception de ce projet dès le début, ils ont continué à jouer un rôle précieux dans la mise en œuvre des outils dans la pratique.

Les patients partenaires ont notamment participé à l’élaboration d’une vidéo destinée à sensibiliser le public aux outils de déprescription et ont fait entendre leur voix dans la vidéo par le biais d’entretiens. En outre, les patients partenaires aident à interpréter les données relatives aux obstacles et aux facilitateurs de la mise en œuvre.

Mme Battistella note que ce projet a un fort potentiel d’amélioration des soins rénaux. « Si les outils de déprescription parviennent à optimiser les schémas thérapeutiques, les fournisseurs de soins de santé pourront gérer les médicaments de manière plus efficace et les patients pourront voir leur qualité de vie s’améliorer », ajoute-t-elle.

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